Il faut transformer ce qui depend de nous et accepter l’ineluctable et ce que l on peut pas transformer, retrouver une paix interieure par l’’equilibre entre ces deux poles, je ne peux pas changer et je veux changer : c’est un choix et une volonté. Accepter ce que l on ne peux pas changer et qui ne depend pas de nous, que nous n’avons pas choisi et que nous subissons.
Accepter ce qui ne depend pas de nous c’est accepter de regarder vers ce qui ne nous plait pas sans detourner le regard, c’est aussi accepter de se confronter au desagreable et a ce qui fait mal, c’est souffrir sans penitence mais souffrir avec bienveillance car la souffrance fait partie de notre vie, elle nous permet de nous dépasser parce que nous acceptons de ne pas toujours etre dans l agréable, trouver ce bon equilibre et cette bonne distance entre je ne peux pas et je ne veux pas. Ne plus etre dependant du toujours bien, mais aussi accepter le parfois mauvais, le qui fait mal. C’est ainsi que l’on acquiert la liberté d etre parce que l’on ne depend plus de tout ce qui nous fait du bien en acceptant aussi ce qui nous fait du mal
De cette liberté de choisir depend alors aussi notre etat d’etre, comment nous sommes, en soumission, subissons, ou alors nous choisissons d accepter de vivre des situations difficiles, de nous libérer des situations oppressantes, celles qui ne nous font pas du bien mais qui existent pour chacun de nous dans sa vie, personne n en est epargné, alors que faire raler, ne pas lacher, s’accrocher a quelque chose qui nous echappe ?
Au risque d’y laisser notre vie interieure car nous serions completement sous la dependance de cet evenement qui nous fait mal parce que nous le laissons nous faire du mal.
C’est notre ego qui souffre, abandonner notre belle image que nous nous sommes forgé de nous meme et accepter cette image salie et ternie. Vivre sa vie aussi dans l’echec et dans le rien ne me réussis. C’est accepter de souffrir pour redevenir humble, retrouver sa vrai place et non pas celle que l’on s’imagine ou dont on reve . C’est remettre notre ego a sa place, ne plus lui donner l’espace d’un gros 4/4 mais celui d’un velo qui nous permet d’avancer sereinement. Si notre ego, notre moi je, prend moins de place alors nous serons davantage ouvert a ce changement que nous propose le « je ne peux pas le changer », qu’est ce que je peux faire si je ne peux pas le changer ? Comment voir cette situation autrement qu’est ce que cela peut m’apporter de ne pas la changer, quelle nouveauté je pourrai decouvrir dans cette autre situation qui depend de moi ?
Il faut transformer ce qui depend de nous et accepter l’ineluctable et ce que l on peut pas transformer, retrouver une paix interieure par l’’equilibre entre ces deux poles, je ne peux pas changer et je veux changer : c’est un choix et une volonté. Accepter ce que l on ne peux pas changer et qui ne depend pas de nous, que nous n’avons pas choisi et que nous subissons.
Accepter ce qui ne depend pas de nous c’est accepter de regarder vers ce qui ne nous plait pas sans detourner le regard, c’est aussi accepter de se confronter au desagreable et a ce qui fait mal, c’est souffrir sans penitence mais souffrir avec bienveillance car la souffrance fait partie de notre vie, elle nous permet de nous dépasser parce que nous acceptons de ne pas toujours etre dans l agréable, trouver ce bon equilibre et cette bonne distance entre je ne peux pas et je ne veux pas. Ne plus etre dependant du toujours bien, mais aussi accepter le parfois mauvais, le qui fait mal. C’est ainsi que l’on acquiert la liberté d etre parce que l’on ne depend plus de tout ce qui nous fait du bien en acceptant aussi ce qui nous fait du mal
De cette liberté de choisir depend alors aussi notre etat d’etre, comment nous sommes, en soumission, subissons, ou alors nous choisissons d accepter de vivre des situations difficiles, de nous libérer des situations oppressantes, celles qui ne nous font pas du bien mais qui existent pour chacun de nous dans sa vie, personne n en est epargné, alors que faire raler, ne pas lacher, s’accrocher a quelque chose qui nous echappe ?
Au risque d’y laisser notre vie interieure car nous serions completement sous la dependance de cet evenement qui nous fait mal parce que nous le laissons nous faire du mal.
C’est notre ego qui souffre, abandonner notre belle image que nous nous sommes forgé de nous meme et accepter cette image salie et ternie. Vivre sa vie aussi dans l’echec et dans le rien ne me réussis. C’est accepter de souffrir pour redevenir humble, retrouver sa vrai place et non pas celle que l’on s’imagine ou dont on reve . C’est remettre notre ego a sa place, ne plus lui donner l’espace d’un gros 4/4 mais celui d’un velo qui nous permet d’avancer sereinement. Si notre ego, notre moi je, prend moins de place alors nous serons davantage ouvert a ce changement que nous propose le « je ne peux pas le changer », qu’est ce que je peux faire si je ne peux pas le changer ? Comment voir cette situation autrement qu’est ce que cela peut m’apporter de ne pas la changer, quelle nouveauté je pourrai decouvrir dans cette autre situation qui depend de moi ?